Depuis vendredi, le spectacle est plus ou moins terminé. Pourtant, la semaine dernière, on a énormément parlé du projet Rosetta, mené par l’agence spatiale européenne (ESA) et dont l’une des phases majeures vient de s’achever.

Dans l’ensemble, on considère un peu les européens comme des branques en ce qui concerne l’étude de l’espace. Il y a eu Ariane 5, et maintenant, ce qu’il ne faut pas oublier, c’est qu’ on a perdu le contact avec Philae, le robot qui a atterri sur une comète.

C’est toujours rigolo de comparer l’image de l’ESA avec celle de la NASA (qu’on ne présente plus). Quand la première nous vend des images de cailloux, la seconde diffuse une image de toute-puissance scientifique, par exemple à travers Hollywood et des films comme Gravity ou Interstellar, plus récemment, avec Matthew McConaughey (cf dessin). L’empreinte de l’agence spatiale états-unienne est partout dans ce film qui essaie de rendre épique la théorie de la relativité générale…