Dans la circonscription de Pierre Moscovici, le député nouvellement
élu reste à gauche,
pourrait se réjouir le PS.
Mais on a aussi assisté à un phénomène étrange : les électeurs de l’UMP,
libres de toute consigne de vote par leur brillant parti, ont quasimé
autant flirté avec leur droite qu’avec la rose au second tour. On
pourrait craindre qu’ils y prennent goût.