Grâce à l’action en justice de cet étudiant autrichien qui a conduit la
cours de l’Union Européenne à invalider l’accord Safe Harbor, l’UE
s’affirme face dans la lutte pour le respect de la vie privée sur
Internet.
Comme on le dit outre-atlantique,
la question est bien moins cruciale aux États-Unis qu’en Europe. Tant
que les new techs font des thunes, tant pis pour nos données, les
affaires continuent.
D’ailleurs, Facebook — l’entreprise à l’origine de l’action de Max
Schrems —, ignore superbement cette décision pour le moment et remplit
l’espace médiatique avec
ses nouveaux emojis pour remplacer le like,
que le monde entier a pu voir aujourd’hui.