La confusion règne depuis quelques heures : un camion fonce dans la
foule sur un marché de Noël à Berlin alors qu’Andreï Karlov, ambassadeur
de Russie en Turquie est assassiné à Ankara. Dans les deux cas, pourtant
isolés, ressort distinctement en lettres pourpres le mot “Syrie”, le
cœur d’une mécanique géo-politique des plus complexes.
Tellement complexes que Jean-Luc Mélenchon se fend d’un tweet le soir
même, tentant de nous en expliquer simplement,
à la Yoda, les ressorts :
La position de Mélenchon quant à l’intervention russe en Syrie et en
Irak est des plus limpides. See through you, we can… Il
apparaît comme ami des russes,
soutenant l’intervention de Poutine au Moyen-Orient, tout en restant le
plus vague possible lorsqu’il s’agit d’entrer dans le détail de la
politique du BG du KGB.
Mais où est le côté obscur ?